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Courrier Novembre - Décembre 2009
29-12- 09 : Ghislaine Lledo
A tous nos adhérents et non adhérents, je souhaite une bonne année 2010, pleine de petits bonheurs et de grandes joies. Bien amicalement à tous. Ghislaine Lledo Devesa
28-12- 09 : Dominique Guirauton
Les Vœux de Dominique
23-12- 09 : Geneviève Maquet-Cossu
Bonjour, Geneviève MAQUET-COSSU a créé spécialement pour vous une carte de vœux intitulée "Noyeux Joël".
Un
message vous y attend. Bonne journée
19-12- 09 : Max Denisse
Une tendre pensée pour les fêtes de fin d'année à tous les "pionniers" de Mourenx Ville Nouvelle (comme on disait à l'époque). Je vous joint les incontournables photos de votre serviteur "avant et après" Que ceux qui m'ont connu regardent le jeune gringalet (qu'ils reconnaitront peut-être !) plutôt que le vénérable vieillard (enfin....en apparence !) que je suis devenu......évidemment de 16 à 60 ans on change !!!!! Quoique, quand je viens sur le site, j'ai la douce sensation d'être toujours cet ado qui, avec ses amis, trainait ses guêtres dans toute la cité..... Je vous embrasse toutes et tous...... bien affectueusement Max Denisse
09-12- 09 : Laurent Croharé
Je suis tombé sur votre site par hasard, mais remercie M. Google car il est intéressant et bien fait, et m'a rappelé quelques petites choses. Probablement sans la moindre importance, mais après tout, comme je n'aime pas me tourner vers le passé, autant que les jeunes (c'est-à-dire les moins vieux que moi) en subissent les conséquences (j'essaierai quand même d'être bref, n'ayez crainte).
Je suis arrivé à Mourenx V.N. à l'été 1970, nommé prof. d'anglais (hé oui ... , il y en avait déjà) au Lycée Polyvalent Albert Camus, après deux ans passés en Coopération en Algérie à Skikda (ex-Philippeville). La SCIC nous avait proposé un appartement dans une tour, Place du Pic du Midi d'Ossau (pas loin du lycée), au dixième ou douzième étage, je ne sais plus. Ce logement nous avait plu, on avait une vue imprenable sur la ville, sur les Pyrénées, sur le complexe, et, très accessoirement, sur le lycée. Nous en avons ensuite changé deux fois (la famille s'agrandissait ...), pour finir, toujours en hauteur, Place de Navarre, avec une boulangerie au rez-de-chaussée (pratique). A part quand l'ascenseur était en panne, nous trouvions ces logements plutôt agréables et bien conçus. Sauf qu'il y faisait très chaud l'été (très grandes surfaces vitrées, jusqu'au plancher, et fort peu d'isolation, pas du tout en fait), et l'hiver (pour qu'il fasse chaud dans les étages du bas, il fallait qu'il fasse très chaud dans ceux du haut, élémentaire mon cher Celsius). Ceci dit, il valait mieux avoir chaud que froid, et de toute façon on ne pouvait pas régler le chauffage, alors ... Un souvenir désagréable qui me vient maintenant cependant: la découverte un jour d'un gros nid de blattes à l'arrivée des tuyauteries du chauffage. Le produit employé pour nous en débarrasser illico n'était sûrement ni bio ni écolo, mais il fut efficace. Il paraît qu'il y avait beaucoup de ces insectes dans la ville. Autre souvenir désagréable (mais auquel on ne pouvait rien): quand vous êtes en hauteur, près d'un complexe comme Lacq, vous sentez le moindre frisson, la moindre secousse, le moindre tremblement de la terre, et croyez-moi, nous avions peur à chaque fois ... mais ne sortions pas car nous ne voyons personne dehors (forcément, ceux du bas ne sentaient rien !) et avions donc peur de passer pour des idiots ! Autre souvenir, celui d'une forte tempête de vent, une nuit; le lendemain matin, la toiture de la tour des Célibataires faisait penser au couvercle d'une boîte de sardines ouvert avec une clé.
Nous sommes restés neuf ans à Mourenx (désolé pour les élèves du collège, du lycée et du LEP ...). Nos deux enfants sont nées à la clinique du docteur Trébesse. Nous trouvions la ville plutôt agréable, beaucoup d'espaces verts, des commerçants variés et le plus souvent sympathiques, un marché intéressant et animé, aucun problème de circulation. On pouvait laisser la poussette des enfants à l'entrée du Monoprix, place de Navarre, on la retrouvait au même endroit en sortant. Je me souviens, entre autres, du Studio Claude Roux, de la superette l'Epargne (ou Casino ?) de la famille Martinez, de la boucherie chevaline Grimal, de Geneviève (enfin ... c'est surtout ma femme qui s'en souvient), de la pharmacie (Garros ?), d'une des deux Maisons de la Presse, celle dont le gérant avait un immense Danois à l'entrée (en fait une femelle, mais ça me paraissait curieux de dire "une immense Danoise à l'entrée", ça peut prêter à confusion), de la pâtisserie Guéguen ...
Bref, une période plutôt agréable de notre vie.
Bonne continuation à tous ! Laurent Croharé.
07-12- 09 : Pascale Caisso
Merci de rajouter cette photo à mon album. IL s'agit du voyage offert aux jeunes de la SNPA, en 1977 ou 78, en Israël. S'il y en a qui se reconnaissent, qu'ils n'hésitent pas à me contacter. Pascale Caisso
06-12- 09 : Claude Malé
Claude ouvre son album, à découvrir. Et nous gratifie de nouvelles cartes postales
Il nous raconte son amitié avec Jean-François Sanchez :
Jean-François Sanchez était mon ami ( il en avait beaucoup, parce qu'il était très apprécié, dynamique, sportif, sympathique .... ), nous avions le même âge; nous bâtissions nos rêves d'avenir ensemble, nous habitions dans le même bâtiment (avec Dominique et Pascale Caisso !), nous avons fait les quatre cent coups, bâti des cabanes dans les bois, sommes allé à la pêche avec des sacs à patates comme filet dans le Luzoué pour ramasser des pesquits, poser des lignes de fonds (interdites bien-sûr !) concourus à la natation à la nouvelle piscine olympique (à l'époque ) pour faire le joli cœur devant les filles, organisé nos premières surprises -parties, nous fréquentions la même bande de copines, d'ailleurs quand je vais ouvrir mon album de photos personnelles de cette époque ,il parait dessus...La destinée à fait autre la vie de chacun, j'ai bien souvent pensé à lui, et c'est encore le cas aujourd'hui, et à sa famille aussi, brutalement confronté à la perte d'un des siens ...
Pour ma part ,je suis favorable à la parution de l'article, en son souvenir, pour consolider l'édifice virtuel que vous avez créé, avec des témoignages et des écrits qui sont de cette époque, mais c'est à vous de le décider , et je comprendrais très bien que pour des raisons qui soit autres vous décidiez de ne pas le faire paraître ! il continuera à rester dans les pensées et le cœur des proches qui l'ont connu et apprécié .
(...) Je n'ai pas parlé des autres familles aussi brutalement et durement touché, les familles Marcos et Saintés, mais c'est parce que je les connaissais moins. J.F. Sanchez, lui, on était toujours ensemble, on est resté plusieurs années dans le même bâtiment ! Mais je pense que si vous faites un suivi au message , il faudra aussi parler d'eux ....Ils ont eu autant de peine...et de mérite à supporter ce malheur ...Et ils ont eux aussi leurs amis et leurs connaissances ...
Amicalement Claude Malé
04-12- 09 : Jean-Marie
Merci à Pascal de nous faire découvrir l'origine de ces baraques emblématiques de la ville, qui nous ont servis d'église et de cinéma. Étonnant de retrouver la chapelle, non ?
04-12- 09 : Pascal Fereyrol Je vous félicite pour ce site que j'ai découvert il y a peu. En effet j'ai vécu à Mourenx au tout début - 1960 à 1974 - et j'en garde des souvenirs inoubliables. A cette époque il y avait les fêtes de quartier, j'habitais place du Gabizos, et tous les ans il y avait les manèges qui s'installaient. Je me rappelle de la coupe du monde de foot 1966 au cinéma Gabizos qui n'était qu'une simple fillod. Enfant, je distribuais les programmes avec les copains le jeudi après-midi pour une place ou deux de cinéma. Je vous joins trois photos de classe Victor Hugo: Maternelle 63-64, Maternelle 64-65 et CM 2 69-70 et j'espère que mes parents ont conservé toutes les autres photos.
Mon papa faisait partie de
l'équipe de foot de Mourenx à l'époque.
04-12- 09 : Laurent Croharé
Tombé sur ce site par hasard, je remercie Dominique Caisso de s'être souvenue de moi en Février 2007 (rubrique "Collège") !! Laurent Croharé, prof. d'anglais à Albert Camus de 1970 à '78 (?)
02-12- 09 : Joëlle Cariou
Bonjour Jean-Marie, Un grand merci d'avoir signalé " Les nouveaux ensembles urbains (un cas concret : Lacq-Mourenx et les problèmes urbains de la nouvelle classe ouvrière.)" sur le site. C'est une formidable étude sur la sociologie de la ville, très très riche à lire et fort instructive. On devrait en proposer la lecture aux élèves du lycée de Mourenx en section histoire-géographie locale. Bien amicalement, Joëlle
02-12- 09 : Dominique Dubor
Bonjour, Cordialement Dominique Pebay
01-12- 09 : Jean-Marie
Découvert sur Internet un petit bijou signé Henri Lefebvre : Les Nouveaux ensembles Urbains. Un cas concret : Lacq-Mourenx (Henri Lefebvre (né le 16 juin 1901 à Hagetmau, Landes, et mort en 1991 à Navarrenx, Pyrénées-Atlantiques), est un sociologue, géographe et philosophe français Il a étudié la philosophie à la Sorbonne, diplômé en 1920. De 1930 à 1940, il est professeur de philosophie. En 1940, il rejoint la Résistance. De 1944 à 1949, il est le directeur de Radiodiffusion française, une station de radio située à Toulouse. En 1962, il devient professeur de sociologie à l'Université de Strasbourg, puis à Université de Paris X-Nanterre de 1965 à 1968. Il influence directement les étudiants qui initieront le mouvement de Mai 68, puis livre une analyse à chaud des évènements. Il finit son parcours à l'Institut d'Urbanisme de Paris.)
19-11- 09 : Claude Lupfer Bonjour Je suis Claude Lupfer . J'aimerais bien venir aux assemblées mais de Capbreton c'est pas à côté. Il m'arrive de venir à Mourenx puisque ma mère habite Artix. Je trouverai bien un samedi pour venir.
Ci- joint une photo de
Charles de Bordeu (CM2 1960-1961). Il y a Alain Versini, Claude Lupfer
(1 et 2 1er rang), Alain Cabanne (3 au 2eme rang) Alain Castelot
(2 au 3eme rang) JM ou Dominique Pontalier (8 au 2 Bonne journée à bientôt de se rencontrer à quand un autre repas? Claude
17-11- 09 : Jean-Marie Merci Joëlle pour cette excellente idée. Pour la réalisation de cette carte, il serait souhaitable que chacun d'entre vous (d'entre nous, pardon) puisse nous envoyer son adresse exacte à son arrivée à Mourenx, c'est à dire le nom de son bâtiment. Et, pour donner l'exemple, en suivant Joëlle, je suis arrivé au Bât. U. (Oui, Dominique aussi, d'ailleurs) Allez, à vos souris En attendant, je réfléchis à la mise en page. Si vous avez des idées.. A bientôt
14-11- 09 : Joëlle Cariou
Bonjour Jean-Marie,
Bien que je n' ai pas donné de nouvelles depuis longtemps, je suis toujours avec intérêt les aventures de la Saga. Dans le dernier compte-rendu de réunion est apparue l' idée suivante: "Nous allons faire le tour de la ville, prendre des photos des plaques de rues, faire un petit topo sur le personnage (par exemple : Rue Vivaldi…qui est Vivaldi ? Rue Pierre Angot….qui est ce monsieur ?).".
J' ai pensé que parallèlement à cet historique des plaques, il serait peut-être aussi intéressant de réaliser une topographie des rues avec le nom des habitants de Mourenx membres de la Saga. Par exemple, au 1, rue des Pionniers habitaient les Martinez, moi au 5, etc.... On obtiendrait ainsi une carte " mémoire" ou chacun pourrait retrouver son quartier, ses voisins et tout le monde peut y participer facilement.
Bien amicalement,
Joëlle
06-11- 09 : Jean-Marie Le compte-rendu de l'association est arrivé. Pour le consulter, cliquez ici
02-11- 09 : Claude Malé une petite histoire réelle Mourenx juste avant la fête de la ville . Il était de coutume dans les années 1965-1966 d'annoncer la fête de l'agglomération par un coup de canon, remplacé bien sur à cette époque par des gros pétards... On habitait juste à côté de l'école, et il était fréquent dans nos circuits d'amusement d'aller y faire un tour . Et donc qu'est ce que je découvre sous le préau, différents cartons ouverts pour la plupart , je devais avoir 14 ans et quelques, et chouette des pétards ,des gros .... ils avaient la grosseur d'une aubergine de 500 GR à peu près.. Ben ma foi , on va l'essayer , il y avait une mèche de 40 cm environ... prend une allumette, allume la mèche, jette le pétard à environ 2 à 3m, et regarde (bêtement), le résultat !!, grosse explosion et comme c'était dans le préau de l'école, la déflagration a fait voler plusieurs vitres en éclats, de stupeur je suis resté .. Mais pas longtemps, parce que la détonation avait bien sûr attiré tout un groupe de voisins qui arrivait en courant sur moi ... Et là l’instinct de sauvegarde, ou la trouille de prendre une dérouillée paternelle, ( on se demande !) m'a fait m' écrier, « je l'ai vu , il est parti par là, c'est un jeune blond avec un pull rouge », et je suis parti avec eux en courant dans la direction indiquée, bien-sûr on l'a jamais retrouvé... Je dis pas qu'ils ont pas eu un doute ! mais je suis resté très affirmatif dans ma description ... et j'ai donc tout en bénéficiant du doute pu rentrer chez moi ... intact ... Je vous préviens on est en 2009, et il y a prescription ... Claude Malé
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